La 38e édition d’Art Brussels présente 157 participants de 26 pays. Montrant à la fois des œuvres d’artistes établis, de nouveaux talents et des artistes à redécouvrir, le programme d’Art Brussels s’annonce pointu et innovant. La foire propose un programme dynamique réunissant le meilleur de la scène des galeries contemporaines représentant près de 1.000 artistes.
Preview & Vernissage: Jeudi 28 avril 2022
Les galeries
Les galeries participantes sont réparties dans différentes sections selon les artistes exposés : PRIME (artistes en milieu de carrière et confirmés), DISCOVERY (artistes émergents), REDISCOVERY (artistes oubliés ou insuffisamment reconnus), INVITED (galeries émergentes qui transcendent le format classique de galerie) et SOLO (présentation d’un seul artiste).
A propos de SOLO
Avec plus de 30 galeries mettant en lumière le travail d’un seul artiste, Art Brussels 2022 rassemble un nombre record de présentations SOLO. Parmi celles-ci : Wanda Koop chez Blouin Division (Montreal) qui examine le paysage au travers du prisme de la technologie ; Aurélie Pétrel chez Ceysson & Bénétière (Genève, Luxembourg, Lyon, New York, Paris, Saint-Etienne) qui se penche sur le medium photographique ; Tuukka Tammisaari chez Kristof De Clercq (Gand) dont les peintures sont inspirées par la nature, l’histoire de l’art et la culture pop ; Paul McCarthy chez Xavier Hufkens (Bruxelles) dont les oeuvres humoristiques critiquent les mythologies et la politique américaines ; Dankyi Mensah chez MARUANI MERCIER (Bruxelles, Knokke, Zaventem) dont les portraits colorés
documentent le développement du paysage social et politique au Ghana ; Jacques André chez Personne n’en veut, j’achète (Anvers) dont le projet eponyme aborde le statut de professionnel au chômage ; Nazanin Pouyandeh chez Sator (Paris) dont les oeuvres explorent son évolution personnelle et sa relation entre l’Iran et l’Europe ; Natsuko Uchino chez Sorry We’re Closed (Bruxelles) dont la pratique se définit par son interaction avec l’agriculture et l’artisanat ; Philip Aguirre y Otegui chez valerie_traan (Anvers) dont le travail s’articule autour de la migration, de l’eau et de l’architecture refuge ; et Noel W. Anderson chez Zidoun-Bossuyt (Luxembourg), connu pour son exploration de l’identité masculine noire en utilisant le textile.
La meilleure présentation SOLO se verra décerner le prix SOLO (soutenu par Hiscox), assorti d’un chèque de 10.000 € pour l’artiste. L’artiste gagnant est sélectionné par un jury professionnel et sera annoncé le jour de l’ouverture de la foire.
La liste complète des projets SOLO : Philip Aguirre y Otegui Valerie_traan | Noel W. Anderson Zidoun-Bossuyt | Thomas Arnolds Nosbaum Reding | Art & Language Mulier Mulier | Seyni Awa Camara Baronian | Abdelkader Benchamma TEMPLON | Matt Bollinger Zürcher | Bea Bonafini Eduardo Secci | Marie Cloquet Jason Haam | Anton Cotteleer Whitehouse | Anthony Cudahy Semiose | Koenraad Dedobbeleer C L E A R I N G | Nathalie Du Pasquier Greta Meert | Kenny Dunkan Les Filles du Calvaire | Agnès Guillaume Sanatorium | Dan Halter Osart | Wanda Koop Blouin Division | Mimi Lauter Mendes Wood DM | Marin Majic Nino Mier | Paul McCarthy Xavier Hufkens | Dankyi Mensah MARUANI MERCIER | Hermann Nitsch Galerie RX | Aurélie Pétrel Ceysson & Bénétière | Nazanin Pouyandeh Sator | Denie Put Base-Alpha | Klaas Rommelaere Zink Waldkirchen | Turi Simeti Dep Art | Tuukka Tammisaari Kristof De Clercq | Natsuko Uchino Sorry We’re Closed | Maarten Vanden Eynde Meessen De Clercq | Shirley Villavicencio Pizango Geukens & De Vil | Stefan Vogel Jahn und Jahn | Leon Vranken Sofie Van de Velde avec le support de
mariondecannière
DISCOVERY : un tremplin pour la scène émergente
Art Brussels est connue pour être une pépinnière de jeunes talents et la section DISCOVERY comprend plusieurs artistes de moins de 30 ans : Rose Barberat (1994) chez PACT (Paris); James Collins (1992) chez Claas Reiss (Londres); Megan Dominescu (1997) chez Anca Poterasu (Bucharest); Afra Eisma (1993) chez No Man’s Art Gallery (Amsterdam); Brandon Lipchik (1993) chez Robert Grunenberg (Berlin); ainsi que Charlotte Vandenbroucke (1993) et Loïc Van Zeebroeck (1994) chez Dauwens & Beernaert (Bruxelles).
La meilleure exposition en DISCOVERY (qu’il s’agisse d’une présentation en solo ou duo) sera récompensée par le prix DISCOVERY, soutenu par Moleskine. Un chèque de 5.000 € revient à la galerie gagnante qui est sélectionnée par un jury professionnel.
PRIME : retrouvez les artistes exposés simultanément dans les musées et institutions culturelles
Art Brussels présentera des artistes qui sont exposées dans d’importantes institutions d’art simultanément à la foire, notamment: Kasper Bosmans au WIELS (Bruxelles) et Rirkrit Tiravanija au CC Strombeek (Grimbergen) (Gladstone, (Bruxelles, Los Angeles, New York, Seoul); Hadassah Emmerich (Whitehouse Gallery, Lovenjoel) au Bonnefanten Museum (Maastricht); Guillaume Leblon (Nathalie Obadia, Bruxelles, Paris) au Palais de Tokyo (Paris); Wael Shawky (Lia Rumma, Milan, Naples) au M Leuven; Daniel Steegmann Mangrané (Mendes Wood DM, Bruxelles, São Paulo, New York) au Jeu de Paume (Paris); Kiki Smith (Lelong & Co., Paris, New York) à la Fondation Thalie (Bruxelles); Rinus Van de Velde (Tim Van Laere, Anvers) à Bozar (Bruxelles); Floris Van Look (Keteleer, Anvers, Brasschaat, Otegem) à De Warande (Turnhout); et VOID (LMNO, Bruxelles) au Botanique (Bruxelles).
Thèmes à travers la foire
Au-delà des différentes sections de la foire, de nombreuses galeries et artistes participant à la foire reflètent une préoccupation pour des thèmes, des idées et des concepts communs, parmi lesquels :
Le genre, l’identité et le corps
L’un des thèmes clés identifiés parmi les artistes exposés porte sur le genre, l’identité et le corps, en particulier en relation avec la mortalité et l’érotisme. Quelques exemples : Kiki Smith chez Lelong & Co (Paris, New York), connue pour ses représentations figuratives de la mortalité, de l’abjection et de la sexualité ; Carmen Calvo chez Luis Adelantado (Valencia) dans l’œuvre de laquelle les thèmes féministes figurent au premier plan ; et Mark Manders chez Zeno X (Anvers) dont l’art révèle une fascination pour la tête, qui est dépeinte comme détachée du corps et juxtaposée à différents éléments.
Ailleurs, d’autres artistes explorent les luttes socio-politiques, la race, l’ethnicité et l’identité LGTBQ+. On y découvre entre autres : Kenny Dunkan chez Les Filles du Calvaire (Paris) qui fait référence à la culture caribéenne, notamment au Carnaval et à la dualité ambiguë entre colonialisme et tradition locale mêlée à l’histoire des esclaves africains ; une exposition collective d’Amélie Bouvier, Sean Crossley, Ella Littwitz et Emmanuel Van der Auwera chez Harlan Levey Projects
(Bruxelles) qui traite de notions de corps ; Didier William chez M+B (Los Angeles) qui puise dans l’histoire haïtienne et dans sa propre expérience du colonialisme et de la résistance ; Gaëlle Choisne chez NICOLETTI (Londres) qui aborde les complexités culturelles avec des références aux traditions créoles, à la mythologie antique et à la culture populaire ; et Jingze Du chez Steve Turner (Los Angeles) dont les peintures en noir et blanc représentent le statut d’immigré de l’artiste.
Climat et environnement
Un autre thème qui revient souvent concerne le climat et l’environnement, avec des artistes explorant la relation entre l’homme et l’environnement. Beaucoup d’entre eux visent à sensibiliser à la dégradation de l’environnement causée par l’homme et aux écologies naturelles, entre autres : Ronan McCrea chez Green on Red (Dublin) dont le travail est centré sur l’installation controversée de valorisation énergétique des déchets de Dublin ; Chris Soal chez WHATIFTHEWORLD (Le Cap), qui utilise des objets trouvés non conventionnels pour questionner l’impact sur la vie urbaine ; et Peter Buggenhout chez Axel Vervoordt (Anvers, Hong Kong) et chez Laurent Godin (Paris) dont les sculptures brutes résultent d’un assemblage de déchets industriels, de crin, d’entrailles et de poussière domestique.
De nombreux artistes explorent en outre la position des animaux au milieu de notre relation changeante à l’environnement, notamment : André Romãno chez Vera Cortes (Lisbonne), qui brouille les frontières entre humain et animal, nature et culture ; et Daniela & Linda Dostálkova chez Piktogram (Varsovie) qui abordent les questions post-humanistes liées à la protection des animaux.
D’autres artistes reflètent l’impact social et l’importance de l’architecture et des environnements urbains. Parmi ceux-ci, le stand de MLF Marie-Laure Fleisch (Bruxelles) avec des œuvres de Julie Legrand, Ronny Delrue et Sergio Breviario, met l’accent sur l’utilisation de l’environnement comme force inspiratrice pour affronter notre rapport au monde ; Xavier Theunis chez Green on Red (Dublin) qui examine l’espace et la perspective par le biais d’interventions ludiques ; Hector Zamora chez Albarrán Bourdais (Madrid) qui réarticule les caractéristiques physiques d’un environnement urbain ou architectural spécifique; et Stijn Ank chez Michael Janssen (Berlin) qui montre que les œuvres en plâtre peuvent être considérées comme une recherche dans la relation entre la matière et le vide.
Internet et technologie
Un troisième thème récurrent implique des œuvres qui parlent de l’impact de l’imagerie numérique sur l’art et la culture, du concept de « surcharge d’informations » et de la vitesse de la technologie grand public dans le monde. ASPN (Leipzig) expose Katarína Dubovská dont les installations utilisent des images qui sont traînées et tordues jusqu’à ce que toutes les cellules soient désintégrées; Charlot (Paris, Tel Aviv) montre entre autres Quayola qui fusionne l’esthétique classique avec les logiciels et les algorithmes ; House of Chappaz (Barcelone, Valence) et Joey Ramone (Rotterdam) présentent un stand commun avec Momu & No Es qui critiquent l’hyperconnectivité et expriment leur méfiance à l’égard de l’utilisation des technologies de la « nouvelle réalité » ; enfin, Nagel Draxler (Berlin, Cologne, Munich) montre des œuvres de Kirsi Mikkola qui a inventé GLO, un personnage qui est à la fois une déclaration artistique féministe et une mascotte pour la formation
d’une base de fans.
En outre, de nombreuses galeries d’Art Brussels ont collaboré avec des artistes NFT, parmi lesquels : ADN Galeria (Barcelone) avec Avelino Salo; Erika Deák (Budapest) avec Attila Szucs; DMW Gallery
(Anvers) avec Marius Ritiu; Sanatorium (Istanbul) avec Sergen Şehitoğlu; Sapar (New York) avec Alejandro Magallanes et Super Dakota (Bruxelles) avec Chris Dorland. Pour plus d’informations sur la liste complète des galeries participantes cliquez ici.
Autres initiatives et projets artistiques à la foire
Art Brussels et Dan Perjovschi en solidarité avec l’Ukraine
L’artiste roumain et militant pour la paix Dan Perjovschi a créé une série de cinq pins qui seront en vente à la foire, invitant les visiteurs à montrer leur soutien à l’Ukraine. La totalité du prix d’achat de ces pins sera versée à l’association caritative Ukraine 12-12. L’artiste est représenté par Michel Rein (Paris, Bruxelles) à la foire, qui vendra les dessins originaux en noir et blanc critiquant l’invasion russe. Le produit de la vente des dessins sera par ailleurs intégralement versé à une organisation caritative roumaine chère à l’artiste .
Art Brussels et les NFT
Fidèle à son ambition de traduire les dernières tendances de l’art contemporain, alors que le marché de l’art s’ouvre aux NFT et au Metaverse, Art Brussels a retenu comme partenaire Parallel.art. En
regard de ce partenariat, Parallel vise à offrir du support aux galeries participantes dans leur découverte de la sphère blockchain en accompagnant leurs initiatives dans le Web3, les NFT et les cryptomonnaies et à fournir aux visiteurs de la foire les clés pour aborder ce nouveau paradigme. Parallel relie les pratiques artistiques contemporaines aux technologies Web3. En combinant des explorations conceptuelles avec des outils sur mesure, ils donnent vie à des projets artistiques sans précédent dans des écosystèmes de blockchain durables. Ils conseillent, consultent, commissionnent et mettent en œuvre.
Situé au cœur de la foire, le stand Parallel sert de « point de contact » NFT. Il est conçu pour informer, éduquer et guider les futurs collectionneurs NFT et les visiteurs curieux dans leur approche
des pratiques artistiques basées sur la blockchain. On pourra y trouver de l’aide pour la création d’un portefeuille, l’achat et aborder d’autres questions dans le domaine de l’art et les cryptos. Le stand servira également de point de départ pour des visites guidées pour les visiteurs de la foire permettant de découvrir les NFT proposés à la vente par les galeries participantes. Dans le prolongement des présentations physiques à la foire, Parallel s’associe à JPG, un protocole curatorial
pour les NFT, pour présenter une sélection des NFT proposées par les galeries d’Art Brussels. Ceci représentera une première exposition Web3 pour Art Brussels en collaboration avec le partenaire retenu pour explorer les possibles de ces nouveaux domaines dans l’art contemporain. Pour approfondir le sujet, Parallel organisera une série de conférences extra muros en collaboration avec notre partenaire institutionnel iMAL (Art Center for digital cultures & technology), centre d’art bruxellois de renommée internationale dédiée aux cultures et technologies numériques. Les conférences et débats plongeront les visiteurs et professionnels d’Art Brussels dans divers aspects reliés aux NFT, en dévoilant, explorant, critiquant les concepts qui sont à la base de ce nouvel espace encore en pleine mutation. Réunissant des acteurs majeurs du monde de l’art contemporain et des experts crypto/NFT, ce cycle sera l’occasion de jeter des ponts entre ces deux mondes.
L’Oeuvre et Son Double dans le Stibbe Lounge – curateur : Sam Steverlynck
L'exposition L’Oeuvre et son Double organisée par Sam Steverlynck dans le lounge de Stibbe à Art Brussels, réunit le travail de divers artistes participant à la Biennale de Venise cette année, à la fois à
l’exposition principale The Milk of Dreams, sous le commissariat de Cecilia Alemani et dans divers pavillons nationaux. Le titre fait référence à Le Décor et son Double, l’installation conçue par Daniel
Buren pour l’exposition extra-muros emblématique Chambres d’Amis, réalisée par Jan Hoet en 1986, invitant 50 artistes à exposer leur travail dans des maisons privées à Gand. Buren est allé plus loin en
appliquant non seulement son motif à bandes caractéristique à la chambre d’amis de la maison du collectionneur – récemment décédé – Anton Herbert, mais en réalisant également une reconstruction de la chambre dans le musée. Bien que les deux pièces semblent identiques, les rayures ont été appliquées en partie haute dans la maison d’Anton & Annick Herbert alors qu’elles le sont dans la partie basse des murs de la chambre dans le musée. Jouant intelligemment avec le contraste entre la copie et l’original, le privé et le public, l’installation – qui n’existait en fait complètement qu’en reliant mentalement les deux lieux – fonctionne comme une métaphore parfaite pour une exposition montrant simultanément des œuvres d’artistes à la Biennale de Venise
et à Art Brussels. Se référant aux thèmes abordés dans l’exposition de Cécilia Alemani – dont le corps en métamorphose et la relation entre le corps et la terre – certains des artistes sélectionnés présentent des œuvres issues d’une série similaire à celle de Venise, tandis que d’autres jouent avec la notion de double, de copie ou d’image miroir.
La liste des artistes comprend : Ignasi Aballí, Francis Alÿs, Mirella Bentivoglio, Mariana Castillo Deball, Latifa Echakhch, Jane Graverol, Lynn Hershman Leeson, Louise Lawler, Rosana Paulino,
Solange Pessoa, Carol Rama, and Sandra Vásquez de la Horra.
L’artiste danois Jeppe Hein s’empare du Ruinart Lounge
Chaque année depuis 2018, Ruinart invite un artiste contemporain international à partager sa vision de la maison de champagne. Dans les pas de Jaume Plensa, Liu Bolin, Vik Muniz et David Shrigley, Ruinart donne Carte Blanche à Jeppe Hein. L’artiste a conçu un projet évolutif à découvrir au fil des saisons lors des différentes grandes foires d’art contemporain où Ruinart est présent. Cette collaboration sera célébrée par un livre d’artiste et une pièce de collection renfermant une bouteille
de Ruinart. Art Brussels sera la première foire d’art contemporain à présenter ce projet dévoilé fin mars à Paris.
My, Our, Yours - Fédération Wallonie-Bruxelles
My, Our, Yours présente le travail de l’artiste Valérian Goalec sous le commissariat de Maud Salembier. Goalec s’attache à observer la forme des objets utilitaires et de consommation qui peuplent notre quotidien et l’espace public. Artefacts produits en série, objets usuels rationalisés et
à la production standardisée, ils revêtent une apparence sculpturale parfois poétiquement absurde une fois isolés de leur contexte d’origine et acquièrent un statut différent, de par leur agencement dans l’espace, la transition opérée dans leur matière, leur échelle, ou la dialectique contenantcontenu qu’ils sous-tendent et que l’artiste met en avant.
Le projet conçu pour Art Brussels prend ainsi en compte la dimension souvent clinique et standardisée des foires d’art, leur aspect éphémère et modulable ; les lieux de transit, les espaces de parole et les lieux de convivialité standardisés des grands événements. Il propose une exploration de la proxémie comme processus d’être-avec-autrui, par le toucher, la vue, l’odorat ou le son. Les visiteurs activent dans une boucle presque imperceptible les flux en présence.
Première lauréate et gagnante Art Contest 2020
La performance L’Air, de Myrthe van der Mark, est basée sur la sculpture L’Air (1938) d’Aristide Maillol. La performatrice s’assied sur un charriot. Elle prend la pose de la statue et dirige l’air dans un harmonica pendant qu’elle inspire et expire. La pose apparemment aisée devient une lutte physique, qui se reflète dans le corps et le son pendant les quelques minutes que dure la performance. Cette performance sera présentée toutes les deux heures pendant la foire. Myrthe van der Mark a été élue première lauréate d’Art Contest 2020 avec L’Air.
Les galeries en ligne
Artsy Online Viewing Room
Nous sommes heureux d'annoncer notre partenariat avec Artsy, le plus grand marché en ligne mondial pour l'achat, la vente et la découverte d'œuvres d'art d'artistes notoires. En tant que partenaire online d’Art Brussels, Artsy offrira une occasion unique aux galeries participantes de
promouvoir leurs stands virtuels présentant les œuvres de leurs artistes auprès du public mondial d'Artsy.- Les collectionneurs peuvent visiter en ligne Art Brussels sur Artsy pour découvrir des artistes, enregistrer leurs œuvres préférées, visualiser des œuvres sur leurs murs en utilisant l'outil mobile AR d'Artsy et acheter directement des œuvres auprès des galeries en cliquant sur un bouton. A propos d’Artsy Artsy est le plus grand marché mondial en ligne pour découvrir, acheter et vendre des œuvres d'art d'artistes notoires. Artsy met en relation plus de 4 000 galeries, maisons de vente aux enchères, foires d'art et institutions de plus de 100 pays avec plus de deux millions de collectionneurs et
amateurs d'art dans plus de 190 pays. Artsy rend l'achat d'art intuitif, transparent et peu contraignant grâce à une technologie de pointe qui relie l'offre et la demande de manière sûre et sécurisée à l'échelle mondiale. Lancé en 2012, Artsy a son siège social à New York et des bureaux à Londres, Berlin et Hong Kong.
Découvrez la vitrine virtuelle ici.
Dates
Art Brussels aura lieu du jeudi 28 avril au dimanche 1er mai 2022
Jour d’ouverture :
Jeudi 28 avril : Preview de 11h à 17h - Vernissage de 17h à 22h.
Jours d’ouverture au public :
Vendredi 29 avril, samedi 30 avril et dimanche 1er mai de 11h à 19h.
Lieu :
Tour & Taxis, Avenue du Port 86c, 1000 Bruxelles, Belgique
Billets : www.artbrussels.com (Inscription en ligne obligatoire)
OVR sur Artsy pendant la durée de la foire.
Instagram @artbrussels
Facebook @artbrusselsfair
Website www.artbrussels.com
Nous nous réjouissons de vous accueillir à Art Brussels 2022 !